Aujourd’hui, on parle food avec Lise Lafaurie, ma cops nutritionniste et grâce à elle on se fait plaisir en mangeant, et on fait aussi plaisir à sa ligne. Je lui laisse vous expliquer comment manger un burger / frites tout light….
kiss, am xx
Salut à toi, ô fidèle lecteur de mon amie l’Effrontée !
On se retrouve aujourd’hui pour causer d’un met qui m’est cher (tu as vu, je fais des rimes riches aujourd’hui, je suis inspirée) : le burger/frites.
Alors le burger, il vient d’où ? Du célèbre film documentaire à visée préventive de Morgan Spurlok, qui a décidé de se mettre en scène dans cette incroyable expérience de manger « fast food » matin midi et soir pendant un mois afin d’en observer les résultats sur la santé.
Si le résultat (attention spoiler !) de l’expérience ne vante pas spécialement les bienfaits du burger tri-quotidien (+ 11 kilos, cholestérol au plafond et foie en mauvais état), on est bien loin de ma désormais célèbre devise qui est la mo-dé-ra-tion.
Modération donc, mais aussi, en prime, mes petits secrets personnels qui vont faire passer ce plat tant diabolisé, de la catégorie « malbouffe » à la catégorie « tu peux y aller c’est bon pour ta santé ».
Mes devises pour un burger diététiquement correct :
– Le steak haché, maigre, tu choisiras : si tu regardes bien le rayon boucherie de ton supermarché, tu constateras que le steak haché peut afficher plusieurs pourcentages de matières grasses : 5%, 10%, 15% ou encore 20%. Alors inutile d’avoir fait mat ’sup pour savoir que notre ami sera définitivement le 5% de matières grasses. 100 calories de moins déjà !
– La mayonnaise, tu oublieras : la mayonnaise et toutes les autres sauces blanches à base d’huile et d’œufs (béarnaises, cocktail etc. …) sont des pièges à calories ! Fuyez les amis ! Préfères leur le ketchup ou la sauce barbecues, certes un peu sucrées mais nettement moins caloriques. 100 calories de moins again !
– Le fromage, light, tu préfèreras : exit la tranche de toastinette chimique, vive le merzer, ce fromage naturellement pauvre en matières grasses et riche en goût et en caclium ! (il a tout pour plaire ce merzer) (encore une rime riche). Et paf, 50 calories de moins dans la vue du big-mac !
– De salade et tomate tu abuseras : des fibres, des vitamines, des minéraux, sans calories ou presque, ça se passe de commentaire …
Alors une fois de plus, Amandine et moi allons retrousser nos manches et nous mettre aux fourneaux !
Et les frites alors ? Très importantes les frites … Allez, c’est parti pour mon petit couplet diététique :
Sais-tu qu’une portion de frites moyenne t’apporte à peu près un verre plein d’huile ? Mmmmh, ça fait rêver n’est-ce pas ? D’autant que l’huile est l’aliment le plus calorique qui existe sur terre, si si ! Une cuillère d’huile c’est 100 calories, cadeau pour tes hanches ! Alors un verre plein, je te laisse imaginer.
Bon, alors comment on fait pour manger des frites sans avoir besoin de courir le marathon de paris dans la foulée?
– La friteuse tu oublieras, le four tu adopteras : on oublie le bain d’huile donc, et on utilise la technique « Tupperware » : on coupe les frites bien fines et on les mets dans une boite en plastique avec une cuillère seulement d’huile (+ des épices et des herbes de Provences pour le goût et un côté rustique) et on secoue bien. Une fois les frites recouvertes d’huiles, on les étales sur une plaque de cuisson et hop, au four.
Et comme, Amandine et moi on revendique notre côté « girly », on a choisi de faire des frites roses, à base de patates douces.
Voilà pour aujourd’hui, je te laisse donc savourer sans culpabilité ton plat préféré et te dis à très vite pour de nouvelles aventures,
Lise xx